Festivals d’été : Ça rime avec annulé ?

À l’heure actuelle, bien malin qui peut dire quand le confinement se terminera. Une chose est certaine, les réunions entre partisans musicaux ne se feront pas du jour au lendemain. Après l’annulation du Hellfest mi-Juin, le Directeur des Vieilles Charrues qui annonçaient ne plus y croire non plus (mi-Juillet), on peut logiquement commencer à douter d’une quelconque édition de festivals cet été. Preuve en est, notre voisin belge semble se diriger vers cela malgré de gros mastodontes comme Werchter ou encore Tomorrowland. Il semblerait que les autorités belges soient amenées très prochainement à le signifier clairement. Sachant que ça s’annule un peu partout en Europe, on voit difficilement comment certains groupes pourraient tourner dans ces conditions. Qu’il s’agisse des groupes européens et encore plus américains.

Citons par exemple Arnaud Meersseman, à la tête de AEG Presents France qui est en charge du Rock En Seine, pourtant fin août et qui a ainsi évoqué la tenue du festival :

« C’est hautement incertain. Est-ce qu’on aura l’accord des autorités pour des grands rassemblements en plein air en juillet et au-delà ? Je ne parle pas de ceux de début juin, qui paraissent inenvisageables. Ensuite, la crise économique nous pend au nez : les gens vont-ils dépenser 80 à 100 euros pour un festival ? Et puis il y a les artistes américains, qui construisent leur tournée européenne en bloc de six semaines : vont-ils venir alors que leur nombre de dates s’est déjà réduit avec les premières annulations ? Sans nos têtes d’affiches, la situation devient intenable*. »

*Coucou Rage Against The Machine !

 

Une chose est certaine néanmoins : NON, NOEL GALLAGHER NE VEUT TOUJOURS PAS REFORMER OASIS. ET LIAM S’AMUSE TOUJOURS À VOULOIR LE FAIRE CROIRE.

Source : Les internets.