2 potes. 2 instruments. Zéro compromis. Baïonnette, c’est du hardcore qui te crache à la gueule et qui s’en fout de savoir si t’es prêt.
Alex Diaz (The Prestige, New Favourite) et Florian Urbaniak (Junon/General Lee, Ipkiss) ont monté ce duo sur un pari simple : jouer vite, jouer sale, et ne rien calculer. Pas de studio. Pas d’album. Pas de single lissé façon Spotify.
Regarde le clip ci-dessus réalisé par l’ami, le professeur RSTLSS, Ben Berzerker himself !
Juste des lives enregistrés dans des endroits chelous, filmés au feeling, et postés tels quels — avec les imperfections, la sueur et les cris qui vont avec.
Imagine Heriot qui se bat contre The Chariot dans une cage MMA, avec Nirvana en arbitre et Trap Them qui hurle depuis les tribunes. Ça te donne une idée.
Ce projet est né entre deux autres projets bien pensés. On a ressenti le besoin de jouer vite et brut, de lâcher de l’énergie sans aucune prison mentale. Et c’est devenu une sorte de pari entre nous. Si la réponse était que c’est pas possible, alors il fallait le mettre sur la liste des trucs à faire pour les prochaines sessions.
— Florian Urbaniak
Bosser en studio, c’est le confort, les chaussons. T’as un filet de sécurité, surtout quand t’enregistres en numérique, avec des plugins, tout ça. Les erreurs, c’est ce qui nous rend humains. Aujourd’hui, les productions sont coupées à la milliseconde, polies — c’est agréable, mais pour moi, la musique extrême vit dans l’accident, la performance, et l’incertitude.
— Alex Diaz
Baïonnette, c’est l’anti-thèse du playback et du contrôle. C’est brut, bordélique, viscéral. Et c’est exactement ce dont t’avais besoin sans le savoir.
