Qui est VisualMusic ?

VisualMusic, c’est un webzine rock qui traîne ses godasses sur Internet depuis le tout début des années 2000 (genre 2002, ouais, quand on téléchargeait des clips en .rmv, et qu’on lançait les .mov avec QuickTime en espérant que ça rame pas trop).

Le plus vieux vestige officiel qu’on ait retrouvé, c’est cette version de janvier 2004 :

VisualMusic version 2004 sur Web Archive

Mais en vrai, Evans (directeur artistique) et Jye (développeur) avaient déjà mis les mains dans le cambouis depuis au moins 2002, bricolant un site pour parler musique, clips et coups de cœur — sans pub, sans bullshit, juste pour le plaisir. Avec le rouge comme couleur de base car on était le site qui pique les yeux avec une font en corps 8. Belle époque pour les ophtalmos sans qu’on touche jamais un denier pour l’apport d’affaires.

Ross (coucou, c’est moi) a rejoint l’équipe en 2004 comme rédacteur, après avoir squatté en tant que lecteur dès 2003.


Pourquoi “VisualMusic” ?

Parce qu’à l’époque, YouTube n’existait pas.

Quand un label voulait nous filer un clip, il nous envoyait un lien .mov, .avi ou .rmv (la vérité vraie que si tu cliques, tu vas bugguer).
Tu lançais ça dans Winamp ou RealPlayer (si t’étais maso), et t’espérais que le son soit à peu près synchro avec l’image.
Surtout qu’on prenait aussi le temps de parler des clips, de leur réalisation, de les analyser, etc…

Donc ouais, on parlait musique + visuel, d’où le nom.
Et puis on l’a gardé. Pas comme Skyblog.


Aujourd’hui, VisualMusic en est à sa version 7 (la fameuse V7, sortie en 2025), et si le site continue de tourner, c’est grâce à Foofree (Adrien) et Marc (Lopocomar). Deux mecs qui tiennent le webzine à bout de bras (et de câbles USB) avec Ross (Emmanuel).

Visual, c’est pas un site pour faire joli dans un portfolio.
C’est un espace libre, foutraque, vivant.
Un site fait par des passionnés, qui n’ont jamais su se taire quand un album les énerve (ou les excite).

Et si tu veux rire (ou pleurer), jette un œil à cette pépite de l’époque :

FAQ version 2011, toujours en ligne via Web Archive

Spoiler : le ton a pas changé. Et c’est pas demain que ça va arriver.


Qui écrit ici ?

Des bénévoles. Des acharné·e·s. Des insomniaques du riff. Des gens qui ont un avis très tranché sur la discographie de Deftones ou sur la setlist d’un concert de 2009 à l’Aéronef.

VisualMusic, c’est une rédaction 100 % passion, 0 % bullshit.

On n’est pas journalistes, on n’est pas influenceurs. On est là parce qu’on aime ça.
Et surtout : on écrit quand on en a envie. Pas pour suivre la hype ou remplir un calendrier édito chiant comme un album solo de Tom Delonge.
Il y a eu des hauts, des bas, des mecs qui partent sans dire au revoir, des retours de flamme, des come-back glorieux. Bref, une équipe qui évolue au fil du temps, comme un bon groupe de rock avec plus de line-up que de disques.
Aujourd’hui, la rédac compte plusieurs contributeurs réguliers ou occasionnels, selon l’envie, le temps et le niveau de rage ou de bonheur musical du moment.

Le seul critère pour écrire ici ?

Être sincère.
Ne pas faire semblant.
Et ne pas confondre chronique musicale et communiqué de presse.


Peut-on candidater chez VisualMusic ?

Oui.

Mais attends de lire jusqu’au bout avant d’envoyer ton CV en PDF avec une lettre de motivation intitulée “Stage communication rock”.

VisualMusic, c’est pas un tremplin pour choper un pass Hellfest.

C’est un webzine tenu par des passionné·e·s, pour qui écrire une chronique, c’est un réflexe, pas un plan de carrière.
On reçoit souvent des messages du style :

“Je veux rejoindre l’équipe, je peux avoir une accréditation ?”

La réponse, c’est : non.

Avant de prétendre à un pass ou une accréditation, il faut montrer que t’as envie d’écrire.
Contribuer. Participer. Donner ton avis, gueuler, argumenter.
Rédiger quelques chroniques, proposer un live report, montrer que t’es pas juste là pour passer par la case backstage.

Y’a rien à vendre ici.

On n’est pas rémunérés.
On le fait parce qu’on aime ça, et qu’on a grandi là-dedans.
Mais si t’as la flamme, la plume, et une bonne dose d’humilité, tu trouveras ta place.
Et qui sait ? Peut-être que toi aussi tu croiseras tes artistes préférés, un micro à la main et des étoiles dans les yeux.


Peut-on réutiliser vos contenus ?

Oui, mais proprement.

On n’a pas monté ce site pour faire du pognon, ni pour poser des copyrights partout comme si on était Disney.
Mais on a mis du temps, du cœur et parfois des litres de café dans nos articles, nos chroniques, nos photos.
Donc si tu veux partager une news, un extrait d’article, une citation, vas-y, fais-toi plaisir.

Tu veux copier-coller un paragraphe de chronique sur ton réseau ou ton site ?
Pas de souci — mentionne VisualMusic et, si possible, balance un petit lien vers nous. C’est la moindre des choses, et ça nous aide à faire connaître notre taff.
Pas besoin de demander l’autorisation pour chaque partage.

Juste un crédit propre, un lien, et du respect.

On n’a pas vocation à vendre le webzine, mais on aime bien savoir que ce qu’on fait sert à quelque chose.>
Tu veux reprendre nos photos pour un autre site, une asso, un festival ? Là, c’est un peu différent.
Écris-nous. On est cools, mais on aime savoir où partent nos pixels.


Comment vous contacter ? (Et proposer sa musique)

On a pas de formulaire de contact, pas de chatbot relou, pas de système de tickets avec des “temps de réponse estimés”.

Pourquoi ?

Parce que VisualMusic, c’est bénévole, et qu’on manque déjà de temps pour chroniquer tout ce qu’on reçoit.

On préférerait vous dire “envoyez tout, on écoute tout”, mais on va pas vous mentir : ce serait faux.

Du coup, si tu représentes un groupe, un label, un tourneur ou une asso, et que tu veux nous parler musique, le mieux c’est de nous contacter via les réseaux sociaux.

Twitter, Instagram, Facebook — peu importe, on lit les DM (même si parfois on met un peu de temps à répondre, parce qu’on est peut-être en concert ou en train de râler sur un tracklist bancale).

Si ta musique nous parle, on la chroniquera peut-être.
Mais ne le prends pas mal si on ne donne pas suite. Ce n’est jamais personnel. C’est juste qu’on préfère dire non plutôt que de faire semblant d’écouter.

Et si tu veux juste discuter ou envoyer de l’amour (ou nous engueuler parce qu’on n’aime pas ton groupe préféré), les réseaux, encore une fois, c’est le meilleur endroit.