Bientôt la St Valentin, offrez lui une balle

vm5
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6 min. de lecture

Le nouvel album des Gallois de Bullet For My Valentine a fort bien commencé sa première semaine:
Japon: #1
Allemagne: #3
Australie: #4
Royaume-Uni: #5
Concernant les Etats-Unis, l’album s’est vendu à 53 000 exemplaires dès sa première semaine le classant directement à la 4ème place du Billboard.
Une petite interview de Matt Tuck et une plus longue de Michael Page dans la suite.

[b]Matt Tuck[/b] (chant) se confiant à [b]The Pulse of Radio [/b]sur le difficile processus de fabrication de l’album : « Ouais, totalement, tous les jours pendant les 8 mois derniers, avant que l’album soit vraiment mixé, masterisé et fini, c’était comme une lutte incessante chaque jour, vraiment. Mais tu sais, ça en vaut carrément le coup. »

[b]Graham Finney[/b] de [url=http://www.planet-loud.com/v6/interview.php?interview_id=1083]Planet-Loud.com[/url] s’est entretenu avec le guitariste [b]Michael « Padge » Paget[/b] de Bullet For My Valentine:

Qu’avez vous voulu réaliser en faisant cet album?

[b]Paget[/b]: « On ne voulait pas trop dévier du cap lancé par le précédent album. Je pense que le label aurait bien aimé qu’on ramollisse encore plus plus certaines parties pour avoir plus de passages radio mais on l’a fait comme on a toujours fait un album métal de toute façon. Peut-être qu’avant on étaient limité par nos instruments mais maintenant on est bien meilleurs avec, donc je pense qu’on juste voulu enregistrer ce qui sortait naturellement. »

Tu viens de dire que vous avez progressé en tant que musiciens. Est-ce que ça aide de tourner avec des noms comme Metallica, Iron Maiden et Guns N’ Roses?

[b]Paget[/b]: « Ouais, tourner spécialement, mais ce n’est pas seulement avec les gros groupes, parce que se mettre sous le feu de la rampe et jouer devant n’importe qui, c’est complètement différent que de jouer dans ta chambre, quand tu es sur scène et que les amplis grésillent, chaque note compte ou tu commences à ressembler à un blaireau. »

Qu’avez vous appris d’avoir tourner avec des groupes plus importants?

[b]Paget[/b]: « De toute évidence, de réussir à gérer avec les plus grosses scènes et spectateurs mais, en tant que groupe, on y va et on considère chaque concert pareil, tu vois? Pour être franc, les plus gros concerts sont les plus faciles car tu ne peux pas voir tout le monde tellement la foule s’étale trop loin. Dans les plus petits concerts, les fans sont tout compressés et ils sont tous bien en face de toi. »

Revenons sur l’album précédent, est-ce que son succès international a eu un effet sur la manière d’écrire « Scream Aim Fire« ?

[b]Paget[/b]: « Dans le sens où on ne voulait pas trop changer la formule – on voulait rester le plus fidèle à « The Poison » sur cet album et ne pas trop s’en éloigner. Je pense que quand les groupes font un changement radical de ce qu’un fan a l’habitude d’entendre de nos jours, les gens ont une vraie tendance à le descendre rapidement. On ne voulait définitivement pas s’éloigner de ce que les gens connaissent sur Bullet. »

Est-ce qu’il y a beaucoup de vieilles chansons ou est-ce que tout est nouveau?

[b]Paget[/b]: « On a énormément tourné pour « The Poison » et on a écrit quelques chansons sur la route, mais quand on a écrit « Scream Aim Fire » en Septembre, on est allé gratter ces vieilles chansons qu’on avait et on les a mises à la sauce « Scream« . On s’est retrouvé sur la route de là où on voulait aller avec cet album. Une fois qu’on avait ça, on était pas chez nous, on a écrit six chansons en une semaine et elles sont toutes sur l’album ce qui en fait une bonne partie. »

Tu as dit avoir écrit une chanson sur le fait de tourner autant. Maintenant que votre notoriété s’est accrue, elle ne va que s’amplifier encore?

[b]Paget[/b]: Tu sais quoi? Ce coup-ci je trouve ça dur parce que je pars dans deux semaines et je ne pense pas rentrer avant cinq mois d’affilée. Je pense qu’on se prendra quelques jours ici avant de repartir pour des mois et des mois, ouais, c’est dur parce que tu sais que sur une année tu seras chez toi quelque chose comme une semaine. C’est le job le plus cool au monde mais tu dois tout y sacrifier et c’est ça le plus dur à faire mentalement. »

Vous êtes très populaires au Royaume-Uni, qu’en est-il des States?

[b]Paget[/b]: « Les Américains ont l’air de bien accueillir l’album. On y est pas allé depuis le printemps dernier mais on y va fin Février donc on pourra voir par nous mêmes à ce moment là. »

C’est important de réussir aux States?

[b]Paget[/b]: « Aussi important que n’importe où je pense, mais les Etats-Unis sont si grands, c’est difficile car nous devons y passer beaucoup de temps parce qu’on ne peut pas en faire le tour en une semaine comme au Royaume-Uni. »

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