A la grande question d’il y a un an « combien a gagné Radiohead avec In Rainbows?« , on a aujourd’hui un début de réponse. Le cerveau derrière tout ça, Jane Dyball, explique que le groupe se tenait au courant heure par heure de l’évolution de l’affaire et se réservait le droit d’annuler le tout en cas d’insuccès et surtout de rentabilité insuffisante. Cependant, et ce même si la plupart des acquéreurs n’ont rien payé, les téléchargements de In Rainbows ont plus rapporté aux anglais que toute l’exploitation de Hail to the thief. Leur gros coup de pub a donc été un succès sur tous les points.
Dommage que l’album soit si médiocre.
Hail to the capitalists
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