Idealistic, pas narcissist

Maintenant que son groupe n’existe plus, Carl Barât explique que l’une des raisons du split de Dirty Pretty Things est qu’il était « trop idéaliste. Je voulais qu’on devienne un gang de frangins« . C’est sûr qu’il a vécu avec les Libertines un bel idéal de fraternité et de confiance.