Lire un avis de Zegut n’est jamais du temps perdu. Retrouvez dans la suite sa critique de « No line To Horizon« , le nouveau single de U2.
Il en profite également pour donner son point de vue sur un commentaire qui lui aurait visiblement déplu, s’il savait ce qu’on subit ici, …
J’ai lu dans un « comment », « Si ça te plaît pas, n’en parles pas ! ». L’indifférence, pas facile à appliquer en toutes circonstances.
Les gens, la musique, que tu as aimé, il y a devoir de mémoire, afin de les retrouver, de comparer le temps qui passe, savoir si les rides leur vont bien, si tes souvenirs ne te laissent pas de l’autre côté du pont.
J’ai été critique, vis-à-vis de « Black Ice » d’AC/DC, groupe que je soutiens depuis 30 ans. Je le serai pour le nouveau U2, groupe que je soutiens depuis 28 ans, et de toutes sources sonores que je pourrais intercepter avec mes « cages à miel ».
Je rappelle enfin que j’écris sur mon blog perso, il n’y a ni pub, ni partenariat. Ici on « achète » pas de couverture de magazine, on ne fait pas de publireportage, je ne suis pas un site en contact régulier avec les maisons de disques, je ne fais pas de promo, de communication, je ne touche pas de salaires, de royalties et/ou droits d’auteur.
Je ne suis asservi d’aucune manière, et en plus je me laisse pousser la barbe, et c’est le vent qui me coiffe.
I’m free.
No Line On The Horizon
Il n’y a pas encore si longtemps, le producteur, Brian Eno clamait que « No Line On The Horizon » redéfinissait les arcanes de la chanson « Pop ».
Alors allons y ! Faisons simple ! Et chacun son sale goût ;o)
Piste 1 « No Line On The Horizon »
Début prometteur avec rythmique basse-batterie, guitares « noisy », le bon son, mais pas de quoi faire de la roue arrière tout de même. Et puis vient le refrain chanté, et mélodiquement accompagné par quelques notes elfiques. Pas un mauvais titre, mais bordel, les « Waou Waou Waou Waou », les « Han Han Han », à répétitions de Bono, certainement l’appel de la pleine lune ! Ah non, j’ai rien compris, c’est pour que tout le monde reprenne pendant les concerts.
Et si les, très transparentes, 25 dernières secondes, avant de refermer la porte sans faire de bruit, n’avaient pas été là, je n’aurai pas écrit cette dernière ligne.
A suivre…
