Vexé que Taylor Swift retire toute sa musique de Spotify, le patron Daniel Ek s’est fendu d’un généreux post détaillant et éclaircissant quelques points sur la grosse machine qu’est devenue Spotify. Le coeur du message, c’est que Spotify balance un paquet de brouzoufs aux labels & co (deux milliards depuis 2008, dont un milliard rien que pour cette année), mais que si c’est mal réparti derrière, il n’y peut pas grand chose. C’est assez intéressant à lire, en source.
Blame it on the label (et pas le boogie)
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