Headcharger – Slow Motion Disease

Hey Romain !

Comment va ?

Merci pour m’avoir fait parvenir votre dernier album. Je l’ai écouté 2-3 fois et il est cool, ouais, toujours orienté rock’n roll. Seb gueule moins que sur The End starts here mais il chante bien, ça le fait. Tu m’avais dit l’album avait été écrit, enregistré, et mixé super rapidement non ? Franchement ça ne s’entend pas : le son et la prod sont nickel. Y’a toujours du riff qui claque et des refrains qui font plaiz (Should be running, Spain summer summer), vous êtes resté au top là-dessus. Bon, il y a moins de « gros tubes » que sur les disques d’avant mais c’est pas trop grave, vous en aviez déjà des beaux auparavant !

Par contre, je ne vais pas te cacher que ce que j’aime moins, c’est votre tendance à faire du hard rock à la place du hardcore des débuts. Ça se sentait déjà sur le précédent, mais là vous y allez carrément ! All night long, Fires of hell, Drifter… vous vous êtes pris pour les Guns ou quoi ? Une bonne fois pour toute, Guns ça se traine le cul tellement c’est chiant, et surtout, C’EST LE MAL ! Sûr que je préfère un Using people as one of the fine arts bien hargneux. En même temps mon titre favori de Headcharger c’est Flesh creep from behind the peephole, ça doit jouer dans l’appréciation, héhé (Pro-tip : pitié, faites des titres de morceaux plus courts)

A part ça, c’est bien sympa tous ça, ya plus qu’à voir le bazar en live, enfin si vous ne snobez pas Lyon quoi (message subliminal : check).

Je t’envoie la chro dès qu’elle est en ligne.

A+ mec !

Hilikkus

PS : Ah ouais j’oubliais : vos plans acoustiques, ils déchirent grave.