Scandale ! Ce n’est pas Cedric Bixler qui écrit les textes de The Mars Volta, ou en tout cas pas tous: « »Nous avons écrit beaucoup des messages qu’ils nous ont donnés, et nous les avons utilisés dans les lyrics« ».
Mais de qui parle-t-il? Et bien d’esprits ayant contacté le groupe pendant des jeux autour d’un plateau de spiritisme! Mais pour y attacher un charme porte-bonheur, ils y ont ajouté des éléments d’une religion Afro-Caribéenne (Santeria) pour donner une peau protectrice à l’album quand il sortira.
Il ajoute que ce plateau de spiritisme, qui était un cadeau provenant de Jerusalem offert par Omar Rodriguez à Cedric, aurait porté malheur au groupe, avec notamment des problèmes personnels, financiers et de santé et des problèmes pendant l’enregistrement. Rassurez-vous, à l’heure qu’il est, l’objet maléfique a été enterré par Omar, qui a juré de ne jamais en dévoiler la cachette.
L’album est donc une collection d’histoires racontées par ces esprits! Il sert d’attrape-fantôme, comme les pièges des Ghostbusters, dixit Cedric Bixler, qui ajoute « »c’est notre façon de créer une petite machine infernale« ».
A vos risques et périls, donc.
Autre info intéressante dans cette interview accordée par le frontman à MTV, le single ne sera pas celui initialement choisit par leur maison de disque, « »Goliath« », mais bien « »Wax Simulacra« », choisit par le groupe.
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