La cité lyonnaise grâce à son activisme plus ou moins indépendant (du Grrrnd Zero aux Nuits Sonores) a sensibilisé nombres d’oreilles aux mérites de la noise et des musiques étrangement structurées. On soupçonne fortement les oreilles des trois membres d’Ontario d’avoir été façonnées de cette manière. Une base rock fortement saturée, une basse grasse, des bidouillages bizarres, des interludes minimalistes, une voix prête à exploser… On ne sait pas vraiment à quoi s’attendre avec Ontario, si ce n’est à se faire secouer – et y prendre plaisir. On vous encourage fortement à juger sur pièce lors du concert que le groupe donnera en première partie des facétieux toulousains d’I Pilot Daemon au Trokson le 24 mars. A Lyon, bien entendu. On en reparle bientôt (enfin, peut-être)
On en reparle bientôt (enfin, peut être) #46
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