Si nous on aime Fauve, ce n’est pas uniquement dû un mode de fonctionnement proche du communisme arboré par les belles couleurs de notre site. C’est surtout parce que le groupe a une verve rare, dans une lignée qu’on pensait déclinante, celle des Diabologum, des Maczde Carpate ou 1=0. Cru, brut mais toujours avec une lueur intense dans les yeux.
Bon, c’est vrai la hype invraisemblable autour Fauve (dont les concerts parisiens affichent complet moins d’un jour après leur annonce) a de quoi interpeler, surtout pour un groupe qui a diffusé 4 morceaux en tout et pour tout. En tous cas, cela ne nous a pour l’instant pas empêché de succomber aux Nuits Fauves. On en reparle bientôt (enfin, peut être)
