J’aurais pu citer Freud

C’est l’histoire d’un mec qui drague une rousse dans une boîte de nuit, et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il a la possibilité de conclure :
« – Écoute mon mignon, j’aimerais bien faire l’amour avec toi, mais il faut que je te prévienne. Nous, les rousses, avons une odeur corporelle très prononcée…
– Arrête tes conneries, laisse-moi loler, darling !
« 
Poutre apparente, le bonhomme embarque donc la demoiselle chez lui. Et passe à l’action dans la foulée : la proie est déjà en sous-vêtements. Le ficus de la table de nuit perd trois feuilles. Le soutien-gorge tombe, le string aussi… Et là, une odeur rance envahit la pièce. Chaud comme une baraque à frites, Rocco se motive malgré tout et s’en va lui délivrer un plaisir buccal quatre étoiles. Il s’engage dans la paroi, commence l’affaire, et dégote un bout de carotte. De la tomate. Un liquide jaunâtre. Une bouchée de viande mâchée.
« – Tu m’as prévenu pour l’odeur, mais merde chérie, c’est quoi ce bordel ?
– Tu ne m’as pas laissé finir tout à l’heure… Le mec d’hier soir, il n’a pas tenu !
« 

Si tu es toujours amoureux d’Hayley Williams, tu peux te rendre à cette adresse afin de regarder le nouveau clip de Paramore, « Ignorance« .
[i]Suis-je le seul à me souvenir des [b]Street Sharks[/b] ?[/i]