5 ans sans une news et voilà que Richard Patrick se fait aussi loquace qu’un concierge d’immeubles ! Il a donc annoncé quelques très gros détails à MTV.com (vous savez la chaîne qui n’aime pas le rock en fait) dont le titre du prochain album qui sera intitulé « Anthems For The Damned« . Mais ce n’est pas tout, le frontman annonce que le skeud sera très politisé et comptera les participations du guitaristes John 5 (Marilyn Manson) et Wes Borland (Black Light Burns, Limp Bizkit) qui sont tout deux auteurs de deux titres en plus de la présence derrière les fûts de l’incontournable Josh Freese, quant à la prod’, elle est en fait assurée par Josh Abraham (Slayer, Velvet Revolver).
Patrick annonce par ailleurs qu’il ne s’agît nullement d’un comeback (qui pourrait d’ailleurs se concrétiser avec une sortie du disque fin Mars). « Filter est ma contribution. C’est tout comme Al Jourgensen avec Ministry. C’est quelque chose que je prends très au sérieux, quelque chose pour lequel j’ai quitté Nine Inch Nails et cela m’a permis d’obtenir tant de liberté en tant qu’artiste. Je ne tournerai jamais le dos à ce qui est pour moi la chose la plus importante de ma vie. Et les fans que j’ai attendent un super album. Je sais que je dois revenir avec du bon et je suis absolument convaincu que c’est ce que j’ai sur cet album.«
Ajoutant, « je ne m’égare pas du son habituel de Filter mais parce que je suis plus vieux et plus sage, ça a assurément évolué. Les deux-trois premiers titres sont de vrais titres indus très puissants puis cela va vers l’énorme son dont les gens sont familiers.«
C’est bon, vous l’avez aussi cette érection à casser un tiroir de bureau ?
Patrick also revealed that Anthems for the Damned is a highly political venture.
« I’m having a look around, as a person, and I look at us humans and I just think, ‘What are we going to tell people? How are we going to explain ourselves in 100 years when the planet’s f—ed up and you can’t repair it?’ » said Patrick, who added that he and his wife are expecting their first child, a daughter, in February. « Every song is just so anthemic; it just has this hugeness to it, that I was just like, ‘These are anthems for the damned.’
« We are guilty — all of us — between the war in Iraq and the environment, » he continued. « We’re damned, if we don’t fix this. With this record, I’m just throwing my hands up in the air, going, ‘I guess we’re just going to f— this sh– up, and ruin the planet.’ It’s a little less optimistic and more inspired by frustration and anger toward what we’re doing. It comes from a way darker place, and it’s heavy — the first three songs are really heavy, and I’m proud of that. I miss that in music. I don’t want to pigeonhole myself, but it’s almost like a heavy U2 record. »